A l’occasion de la Journée mondiale Alzheimer 2018, la Fondation Vaincre Alzheimer se mobilise et donne la parole à ses donateurs

La Journée mondiale Alzheimer 2018 est bien plus qu’une simple journée. Grâce au soutien de tous ses donateurs, la recherche sur la maladie d’Alzheimer et les maladies associées avance !

La solidarité de tous les donateurs est très précieuse pour faire progresser la recherche et espérer un jour trouver un traitement efficace.

A l’approche de cette grande journée de mobilisation qu’est la Journée mondiale Alzheimer 2018, deux donateurs de la Fondation ont souhaité partager leur témoignage.

Louis, 68 ans

« J’avais des trous de mémoire de plus en plus fréquents. Je répétais plusieurs fois la même chose, je me trompais de mot, de prénom… Je mettais ça sur le compte du changement de rythme provoqué par ma retraite. Mais ma femme a insisté pour que j’aille consulter. Et je l’en remercie !

Car ça va vous sembler bizarre, mais ça m’a plutôt soulagé de savoir ce que j’avais : une maladie d’Alzheimer à un stade léger. Au moins, je peux me battre. Je prends des médicaments pour atténuer les symptômes. Et je fais beaucoup d’exercices pour préserver ma mémoire.

Je me suis aussi porté candidat pour participer à des essais cliniques. Car j’ai bien conscience que la maladie d’Alzheimer va progressivement détruire mes souvenirs et ma personnalité. Je place donc de grands espoirs dans les avancées des chercheurs qui testent de nouveaux traitements pour nous rendre plus forts face à la maladie, et peut-être même nous guérir ! »

 

Pascale, 59 ans

« Maman est partie il y a un mois. Bien-sûr je suis très triste. Mais je sais que c’est mieux pour elle. Les dernières années ont été très éprouvantes.

Maman ne me reconnaissait plus. Elle était devenue agressive. Elle voulait tout le temps fuguer… J’ai tout fait pour essayer de lui rendre l’existence moins pénible. Même si elle n’en avait plus conscience.

Maintenant, j’essaie de penser à nouveau à moi. À mon mari et mes enfants, que j’ai tellement délaissés ces dernières années. Je pense aussi à l’avenir. Et j’ai peur que la maladie d’Alzheimer me touche à mon tour, peur de faire subir à mon tour un tel calvaire à mes proches…

Heureusement, je sais que les chercheurs avancent et que je peux espérer être mieux soignée que ma mère. Je les soutiens dès que je peux, car, face à un tel fléau, nous devons être unis ! »

 

Vous aussi, mobilisez vous lors de la semaine du 21 septembre, à nos côtés, pour soutenir la recherche innovante :